La décompensation psychotique
Cette pathologie est classée comme étant une maladie mentale. Les troubles se présentent sous forme d’idées délirantes suivies parfois d’hallucinations. Le patient atteint de ce problème n’est pas du tout conscient de la gravité de son état de santé. Il ne sait pas qu’il fait face à des troubles de la personnalité. La décompensation psychotique tourne autour de divers troubles considérables. C’est le cas de la schizophrénie, de la psychose maniaco-dépressive, du trouble bipolaire et de la psychose hallucinatoire chronique.
Les éventuelles causes de la décompensation psychotique
Les causes de la psychose ne sont pas encore très bien définies jusqu’à maintenant. Ce qui sûr c’est que cette pathologie implique l’anomalie dans le cerveau humain. Les systèmes chimiques de neurotransmission de la dopamine et de la sérotonine sont en détérioration. Jusqu’ici, les principales causes mises en évidence sont la consommation excessive de l’alcool et de la drogue.
Diagnostiquer la décompensation psychotique
Les symptômes de la décompensation psychotique sont nombreux et varient selon l’état du patient. Les idées délirantes, les hallucinations et les troubles de l’humeur englobent l’ensemble des signes de cette psychose. L’individu se dit entendre des voix, son langage est incohérent, son comportement est désorganisé, etc. Il peut parfois être en hyperactivité et tout d’un coup dans un état dépressif. En général, le sujet atteint de la psychose n’est pas stable au niveau mental et comportemental.
Comment le traiter ?
Le traitement de la décompensation psychotique doit être effectué dès que l’entourage remarque les premiers signes anormaux. Plus le traitement se fait tôt, plus les chances de guérison sont grandes. Le rétablissement du sujet est beaucoup plus rapide quand le patient suit régulièrement les prescriptions de sa thérapie.
La psychothérapie est une méthode performante pour soigner un individu atteint de la psychose. À travers les séances de thérapie, le patient pourra se remettre sur pieds en fonction de sa réaction sur les accompagnements du psychologue. Parfois, la thérapie est combinée à des médicaments antipsychotiques.